Produits viagers et loi de survie : quelle rationalité pour l’épargnant ? (2012)
Le 3 février 2012 par André Masson, Hippolyte D'AlbisPartager sur
L’épargnant du cycle de vie devrait convertir une part au moins de son patrimoine en rentes viagères pour couvrir le risque de longévité, soit le risque de se retrouver sans ressources suffisantes s’il vit relativement longtemps. En pratique, cependant, la rente et les produits viagers sont peu diffusés aujourd’hui dans la plupart des pays développés. C’est dans cette optique que l’on discutera des différents produits viagers gagés sur le logement dont les atouts et inconvénients seront évalués à l’une des rapports à la mort, à la famille (enfants héritiers), et au bien (logement aliéné ou non) de l’épargnant. On envisagera aussi le point de vue de l’acheteur du viager (particulier ou professionnel).
Intervenants : André Masson, Directeur d'études à l'EHESS, professeur à la Paris School of Economics et
Hippolyte d'Albis, Professeur à l'Ecole d'économie de Paris et à l'Université Paris 1